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Africa Project

Dibombari 2018 / 2019
Besuch des Bürgermeisters aus Dibombari

The mayor from Dibombari visited us from 22.04.19 to 26.04.19. He came as part of our project "Stop Illegal Emigration - Create Opportunities!" to Oldenburg. If we want to prevent people in Africa from committing the dangerous flight across the Mediterranean, we must offer them perspectives in their home countries. This is exactly what we are doing in cooperation with the municipality of Dibombari in Cameroon. Now her mayor, Chief Frederic Nguime Ekollo, was visiting Oldenburg. He also met with our Lord Mayor, Mr. Jürgen Krogmann, for an exchange. The project in Dibombari aims to impart agricultural knowledge. During his stay, the refugee home in Blankenburg was visited. There he had the opportunity to talk with the management and the staff. After a visit, there was still an exchange with the refugees. During his visit to our club rooms, he also got an insight into our work through the chairman of the association, Mr. Lobe Ndoumbe Cyrille. Also details of the project were discussed. The focus was on the continuation in the next year and the marketing of the dried fruits. This project will reduce unemployment in Dibombari and make life more attractive to young people.

Illegale Abwanderung stoppen! Chancen schaffen!

Sehr geehrte Damen und Herren,

Liebe Freunde,

Am 01.12.2018 war der Beginn unseres Projekts in Dibombari / Kamerun.
Zum Start unseres Projektes in Dibombari durften wir ca 200 Teilnehmer begrüßen.
Darunter waren auch Jugendliche, die sich für eine Ausbildung angemeldet hatten, Lehrer, alle Dorfältesten der Umgebung sowie Presse, Rundfunk und Fernsehn.
Es kamen sogar die Stadtvertreter aus Yaunde und Duala trotz Ihres weiten Anreiseweges.
Das Projekt wurde mit der kamerunischen Nationalhymne vorgestellt.
Es läuft seit dem 01.12.2018 bis 20.12.2019 und wurde heute offiziell vom Bürgermeister in Dibombari im Bürgerbüro eröffnet.Herr Chief Frederic Nguime Ekollo
Er freute sich sehr über den Start des Projektes und sensibilisierte die Teilnehmer für die legale Abwanderung.
Unser Motto "Fluchtursachen bekämpfen, nicht die Flüchtlinge".
Zum einen wird es die Möglichkeit zu einer Ausbildung in der Landwirtschaft geben und zum anderen eine Aufklärung über legale Abwanderung.
Im Anschluß stellte unser Vorsitzender Herr Lobe Ndoumbe, Cyrille unseren Verein in Deutschland, sowie den Partnerverein in Dibombari vor.
Er erklärte das Projekt Ausbildung und Sensibilisierung und wie es entstand.
Wir haben das Ziel, dass die ehemaligen Flüchtlinge landwirtschaftliche Techniken erwerben können. So haben sie die Chance, landwirtschaftliche Flächen zu bewirtschaften und sich bzw. ihre Familien zu ernähren. Ein eigenständiges Leben zu führen.
Lehrer, Lehrerinnen und Multiplikatoren sollen genau über legale Abwanderungsmöglichkeiten aufgeklärt werden, damit illegale Abwanderung verhindert werden kann.
Sie werden von den Dramen, die sich hinter mancher Flucht verbirgt, erfahren. Auch bekommen sie einen Einblick, in die Folgen illegaler Flucht, z.B. Trauma, Sklaverei, Tötung und Vergewaltigung.
Wenn sie zu diesem Thema aufgeklärt sind, können sie es auch an ihre Schüler weitergeben.
Sie sollen auch ihre Schüler in diesem Thema sensibilisieren.
Herr Manga Gabriel ( Agraingenieur und Expert in Agrawirschaft) Leiter des Instituts für landwirtschaftliche Forschung und Entwicklung in Nkangsamba begrüßte das Projekt ebenfalls. Sein Institut will für die Qualitätssicherung und Begleitung des Projektes sorgen.
Als Ort haben wir uns dazu Dibombari ausgesucht.
Die Jugendlichen in der Ausbildung werden über die gesamte Projektdauer begleitet.
Sie werden von den Lehrern zu illegaler Abwanderung aufgeklärt und sensibilisiert.
Herr Brice Martial Chuepo von GIZ Kamerun erklärte auch das Projekt, wie es zur Finanzierung kam und sagte, dass es die beste Note aller eingereichten Projekte bekam.
Auch rieten Sie den Jugendlichen vom illegalen Weg ab, sie sollen die Chance, die sie bekommen, nutzen.
Der Unterpräfekt im Bezirkt von Dibombari, Herr Shey Patrick Gwashi,, begrüßte und ermutigte die Teilnehmer.
In einem Direktaustausch der verschiedenen Anwesenden gab es rege Gespräche.
Deutschland wurde für sein Engagement sehr gelobt, auch weil es dafür bekannt ist, sehr gründlich zu sein.
Die betroffene Region in Kamerun soll davon profitieren und Informationen an andere Dörfer weiter geben.
Nähere Informationen finden Sie auf dem Flyer.
Sollten Sie Fragen zu diesem Projekt haben, stehen wir Ihnen jederzeit zur Verfügung.
 
Unser Ansprechpartner in

Kamerun ist:

Intégration Sociale Active -
Mr. Batela Franck Edouard
189 Rue Joss Bonanjo - BP13196 Douala-Kamerun
integration.kamerun@gmail.com
Tél: +237 694 269 069

Deutschland ist :

Integration e.V.
Mr. Lobe Ndoumbe, Cyrille
Eichenstr.1926131Oldenburg
Email: info@integration-ev.com
Tel. +49 441 59 49 653, Fax. +49 441 87 738,

Tel.+49 152 122 90 437

www.integration-ev.com


Illegale Abwanderung stoppen! Chancen schaffen! Affiche en francais
Plakat Stopper l‘immigration illégale.pd[...]
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Illegale Abwanderung stoppen! Chancen schaffen! Flyer en francais
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Illegale Abwanderung stoppen! Chancen schaffen! Flyer deutsch
Flyer Illegale Abwanderung stoppen.pdf
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Illegale Abwanderung stoppen! Chancen schaffen! Plakat deutsch
Plakat Illegale Abwanderung stoppen.pdf
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Illegale Abwanderung stoppen! Chancen schaffen! Poster english
Plakat Stop illegal immigration.pdf
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Illegale Abwanderung stoppen! Chancen schaffen! Flyer english
Flyer Stop illegal immigration.pdf
Depuis quelque temps, nous sommes en plein dans la saison des vœux. Mais y étant cependant, nous découvrons à notre détriment le caractère plutôt ambivalent de ceux-ci, selon leur origine. Ainsi les jeunes enfants y voient le moment idoine pour obtenir aisément de ceux pour qui ils en formulent car, à défaut pour eux de se voir décerner des cadeaux circonstanciels, du moins d’aguicher la générosité de ceux-là. Dans le même temps, opportunistes et autres profiteurs y voient plutôt l’occasion inespérée d’assouvir leurs desiderata indus ignorant la réalité poignante qui leur impose préalablement quelque investissement minimal. On le comprend, la période s’y prête même si par ailleurs, notre société a depuis longtemps cessé d’être marquée par la solidarité agissante pour se muer en société de consommation à l’individualisme plutôt exacerbé. Dans ce registre toutefois, l’on s’accorde volontiers qu’il y en a de singuliers, notamment ceux émanant du Chef de l’Etat, lors de son traditionnel discours à la nation de fin d’année. Pourtant à y regarder de près, moins que vœux en leur assertion première, il s’agit plutôt du trend dominant qui régira l’année à venir en édictant à l’occasion à défaut d’un mode opératoire, le canevas en marge duquel, il sera plutôt difficile aux populations de s’en tirer à bon compte. Et dans cette optique des signes avant-coureurs ont généralement émis, à l’instar des appréhensions légitimes exprimées par les institutions de Bretton Woods qui continuent de nous soutenir financièrement afin d’amener notre économie à re- trouver son équilibre et à envisa- ger une résilience à même d’en modifier ne serait-ce que substantiellement la structure actuelle plutôt à la stagnation au plan de la croissance globale. Du coup, les appoints financiers supplémentaires qu’elles viennent de nous consentir, s’entendent davantage une incitation pour un retour marqué à l’orthodoxie de gestion et plus prosaïquement à l’appropriation de la gouvernance à tous points de vue. Plus qu’un vœu donc, ces institutions essaient ainsi de nous remettre sur le droit chemin dans l’optique de la pleine réalisation de la vision qui soustend désormais la mise en œuvre de notre plan d’émergence, entendu comme la boussole sans laquelle il sera bien difficile de taire les récriminations à l’encontre du pouvoir et tempérer par la même occasion la propension récurrente aux mouvements d’humeur et pire aux crises multiformes que traverse notre pays. En cela, il va de soi qu’il y va par ailleurs d’une plus grande implication de tous et de chacun, afin de nous donner la chance de braver les défis pluriels auxquels nous faisons face dans notre quotidien. Un quotidien que nous nous devons de forger afin de ne plus toujours attendre que la manne tombe du ciel ou que nous nous appuyons sur la solidarité des autres pour nous acquitter de nos différentes obligations. Car, bien qu’on soit en pleine saison des vœux, on dit par ailleurs que : «aides-toi et le ciel t’aidera». Toutefois, les devoirs régaliens de l’Etat lui imposent la prise en mains effective de notre mieuxêtre qui transposé aux vœux peut s’entendre notre volonté de bénéficier de quelque état-providence, notamment en ce qui concerne les services sociaux de base tels la santé ou l’éducation auxquels il faut nécessairement adjoindre les accès à l’électricité et à l’eau qui continuent de constituer des préoccupations pour une bonne frange de la population. Toutes choses pour lesquelles le Chef de l’Etat s’emploiera très certainement à édicter des pistes de solution à défaut de les résorber. Ainsi, on pourrait envisager des vœux réalistes et plutôt contraignants à bien d’égards qui, restaurant quelque espoir, se mueront en stimulant fort pour susciter plus d’engouement aux populations pour leur adhésion et appropriation des Grandes opportunités. Ce d’autant plus que d’une certaine manière, les populations auront contribué à leur manière à la pleine réalisation de celles-ci au travers de leur engagement. Aussi y a-t-il lieu de croire que dans cette veine, nos vœux se conjuguent plutôt vers davantage de convergence de vues entre nos gouvernants et nous en une symbiose telle qu’il soit difficile d’ébranler le bloc qui en naîtra. Bien évidemment, ce vœu qui est le nôtre est sous-tendu par votre fidélité perpétuelle vis-à-vis de votre organe de presse qui s’emploiera conséquemment à toujours mieux vous servir, en vous livrant une information actuelle, pertinente et suffisamment articulée autour de vos aspirations légitimes de mieux-être à tous points de vue. Or, nos vœux s’écartent de ceux du Chef de l’Etat qui intègrent davantage de promesses irréalistes, eu égard au manque de volonté politique entériné par la perpétuation des actes répréhensibles dans son entourage et attesté par son attitude plutôt désabusée lors du traditionnel message à la nation du 31 décembre dernier. De là à croire qu’on s’en tiendra au statu quo alors qu’il faut faire bouger les choses, il n’y a qu’un pas allégrement franchi. edito V


Cultures fruitières Des jeunes à l’école à Dibombari

 La lutte contre le chômage justifie le lancement d’une formation pratique des jeunes dans les domaines de la production agricole, la transformation et le séchage des fruits. Une initiative des experts nationaux venus d’Allemagne et saluée par le Minader. En présence de Gilberte Ngou, représentante du Ministère de l’Agriculture et du développement rural, des jeunes de Dibombari, localité située à une vingtaine de kilomètres de Douala, département du Moungo, région du Littoral, puisque c’est eux la cible, ont suivi les contours de ce projet de formation qui va en principe démarrer dès les jours prochains et va s’étendre sur 12 mois. L’objectif majeur étant de procéder à un transfert de connaissances qui permettra aux jeunes choisis de disposer du know-how pour gérer au mieux une exploitation d’arbres fruitiers. Et devenir ainsi des êtres autonomes capables de se prendre en charge et d’assurer la satisfaction des besoins de leurs familles respectives. Ces formations mises en branle par l’entremise des experts nationaux ayant respectivement fait leurs classes en Allemagne et au Cameroun dans les domaines du génie rural et la conservation des fruits, visent également à positionner Dibombari dans la mouvance de la valorisation de l’agriculture camerounaise en lui octroyant plus de compétitivité. D’après l’un des experts formateurs Bobbo Djamila, cela se fera au travers d’une approche inclusive favorisant l’intégration sociale de toutes les strates sociales et singulièrement celles des laissés-pourcompte ou de ce qui pourrait en tenir lieu. « Au terme de cette formation, des participants seront capables de mettre sur pied une plantation de fruitiers et de la gérer. On pourra avoir en définitive des fruits secs pour le marché local et même pour le marché extérieur ». Et Cyrille Lobe Ndoumbe, initiateur du projet de soutenir: « les jeunes de Dibombari doivent saisir ce projet qui s’étend sur douze mois et qui, pour moi, est un contrat pour la vie. Je serai à l’écoute et le soutien de ceux-là qui, bien qu’ayant obtenu leurs diplômes en fin d’année, décideront de poursuivre dans le même domaine au Cameroun et même en Allemagne où je me trouve ». Ce dernier estime qu’il s’agit là d’une initiative louable ce d’autant plus que « nous devons tous ouvrer dans l’optique de diluer la propension de notre jeunesse pour l’immigration clandestine». Des formations qualifiantes pour les producteurs de richesses Du côté de la mairie présente samedi le 12 janvier 2019 au lancement du projet en question, l’on pense qu’on s’achemine là vers une expérience inédite à plus d’un titre quand bien même le compatriote d’Allemagne peut se targuer d’avoir conduit une expérience similaire en faveur des réfugiés et personnes déplacées dans son pays d’accueil d’alors. « Mais en prenant sur lui de la transposer à notre pays, il sait à terme stopper l’immigration illégale au départ de notre pays tout en le dotant dans la foulée d’une force de travail qualifiée et productrice à souhait. Et comme en la matière, Dibombari se veut un bassin de production de fruits, on comprend aisément que les deux principaux animateurs de cette initiative aient jeté leur dévolu sur cette commune rurale qui a très tôt compris la nécessité de disposer de sources de revenus diversifiés indispensables pour implémenter au mieux les projets de développement et asseoir dans la foulée, le mieux-être de ses populations », laissent entendre les destinataires des formations. Bien plus, en intégrant dans cette initiative des aspects théorique et pratique, animateurs et initiateurs des séminaires prochains ont compris la nécessité d’un savant dosage sans lequel il aurait pu subsister quelque manquement opérationnel préjudiciable pour l’appropriation effective de nouvelles techniques culturales mais aussi et surtout de conservation des produits fruitiers connus pour ne point résister longtemps après leur maturation. En somme, on assure à ceux-ci, une plus-value qui de surcroît n’en altère pas la qualité gustative première. Et c’est fort à propos qu’on peut comprendre que les initiateurs aient délibérément choisi de se mouvoir sous la dénomination de «Intégration Sociale Active Cameroun» qui, bien qu’ayant son siège à Douala, se meut de manière opérationnelle à Dibombari. Aubaine Par ailleurs, cette initiative s’inscrit dans la même veine que «Sombise Mundi» qui, il y a deux ans, posait les jalons d’une plus grande implication communale dans le financement du développement induit des communes territoriales décentralisées. Dès lors, qu’on y adjoigne des formations qualifiantes pour les producteurs de richesses, n’en est que plus avantageux pour les communautés villageoises qui, en plus de gagner leur autonomie, se sentiront désormais plus concernées par le devenir de leur jeunesse en lui assurant de réelles opportunités de sédentarisation et de participation effective aux mutations socioéconomiques et sociétales attendues. Linda Mbiapa
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